« Mertens prenait toujours son quart de champagne, à 5 kilomètres de l’arrivée, le plus glacé possible. Anquetil, lui, en buvait parce qu’il s’emmerdait un peu dans le peloton… Avant cette mode, c’était plutôt la bière qu’on utilisait. Vingt morceaux de sucre dans le bidon, une bière fraîche dessus, et hop ! Un vrai sirop… C’était utile en cas de fringale, mais on finissait complètement beurré, le sucre multipliant l’effet de l’alcool. Et ça ne tenait que 5 kilomètres. »
lundi 5 août 2013
Roulez bourré plutôt que dopé
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