vendredi 9 juillet 2010

Bernie le dingue

« A l’entrainement parfois, je suis dur et con. (…) Je sais que je blesse beaucoup. Des fois, je rentre chez moi et je regrette. (…) Je ne suis pas mesuré. Je m’emporte. »
Bernard Laporte. L’équipe magazine, 29 janvier 2000
 

« J’en vois qui font des raisonnements, comme on dit dans notre jargon, Pierre Villepreux par exemple. Mais moi, un jour, je vais expliquer ce que les joueurs m’ont dit de Pierre Villepreux. Il ne faut pas qu’il oublie que lui, contre les équipes de l’hémisphère Sud, il a joué neuf fois, et il n’a gagné qu’une fois. Fabien Galthié m’a dit que c’était la plus grosse pipe qu’il avait eu comme entraîneur. (…) Il faut remettre les choses à leur place pour tous les donneurs de leçons qui n’ont jamais rien gagné, et lui le premier. »
Bernard Laporte. Sud-Radio, 18 février 2005


« Il faudrait faire revenir les bénévoles du rugby. Tous ces bourgeois de merde [le public], je te les foutrais sur le terrain. »
 Bernard Laporte, peu satisfait du comportement du public à l'issue d'un match du quinze de France. Février 2006

« C’est vrai, je disjoncte. Mais je ne veux pas d’une fonction dans laquelle on m’oblige à être lisse. Si mon rôle d’entraîneur, c’est de porter la cravate et de balancer des banalités, ça ne m’intéresse pas. Je ne suis pas là pour m’occuper de mon personnage. Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis. Parfois à chaud, avec beaucoup d’énervement, mais on ne se refait pas… »
Bernard Laporte. L’équipe magazine, 4 mars 2006

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