« La véritable gangrène qui infecte la vie de nos
sociétés a pour nom le football ; et le stade est intrinsèquement le lieu
où mijotent les futures explosions de violence parce que les lourdes rancoeurs
politiques et sociales amassées s’associent intimement au football, sont
orientées par lui s’exprimant dans des chaudrons tout équipés à les recevoir, à
les capter et à les amplifier jusqu’à les faire déborder dans la ville les
transformant en colonnes guerrières. »
Marc Perelman,
universitaire enragé. Libération, 23 novembre 2009
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