vendredi 16 décembre 2011

Paris vaut bien un mess

« A notre époque, le rugby, c’était encore confidentiel, même avec le bon Roger Couderc. (…) Nous les joueurs, on était tellement heureux de participer, de se retrouver. Bien sûr, il valait mieux gagner et on faisait tout pour, mais, si on perdait, eh bé on te faisait péter une bonne troisième mi-temps, à Paris, chez Tony, rue Princesse, et ça remettait les choses en place, avec le foie en vrac. Il faut comprendre que monter à Paris, y jouer un match du Tournoi, ça, pour un gars de la campagne comme moi, c’était du sucre d’orge. »

Walter Spanghero. Le Parisien, 3  février 2000

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