« Lui, c’est « donnez-moi ! Donnez-moi ! » des ballons de but, de la considération, de l’argent de la gloire. C’est un buteur, un vrai, un égoïste. Il dépend des autres, mais il joue d’abord pour lui. Lors d’un match capital contre l’Italie, qu’il devait livrer avec les Espoirs pour la qualification aux Jeux de Sydney, il s’est fait porter pâle alors qu’il était parfaitement capable de tenir sa place. Simplement, il savait que lui n’irait pas aux JO, qu’il serait à l’Euro, alors il a vite oublié les potes. Il les a plantés. Sans remords. »
Raymond Domenech. L’équipe Magazine, 9 décembre 2000
« Il représente deux moments très importants. Son but en finale de l’Euro 2000 a fait pleurer toute l’Italie. En 2006, il nous donne la Coupe du monde en ratant son tir au but en finale. Il a ainsi offert deux émotions très différentes à l’Italie. Il laissera donc une trace à vie. Le moment venu, la Juve ne devra pas chercher à recruter un autre Trézéguet. La copie ne vaudra jamais l’original. Il n’y aura qu’un seul Trézéguet dans l’histoire du football ».
Roberto Bettega, ancien attaquant et vice-président de la Juve (1994-2006). L'équipe, 30 août 2008
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