« Si je n’avais pas peur qu’on me traite de pédé, je dirais qu’entre Michel Mézy (ancien entraîneur de Montpellier) et moi, c’est une histoire d’amour. »
« Le football a toujours constitué une passion, c’était ma maîtresse en quelque sorte. Je donnais sans compter. Je bandais pour les joueurs. J’ai eu deux garçons ; mon club, c’était un peu ma fille. Il ne fallait pas y toucher, j’insultais les arbitres, j’étais un con fini, un mauvais type qui n’aimait pas la défaite (…) Maintenant, il faut faire du business avec le football (…) A mon avis, je ne suis pas fait pour le business dans le ballon. »
Louis Nicollin. L’Humanité, 25 mars 2000
« Ce n’est plus comme avant, les joueurs se foutent des clubs, ils vont là où il y a de l’argent à prendre. Mais bon, à Montpellier on n’a pas trop à se plaindre. Ceux qui sont partis à l’étranger, ils sont où maintenant ? De vraies crêpes Suzette, j’ai même oublié leurs noms. »Louis Nicollin. L’Equipe, 6 septembre 1988
Louis Nicollin, président de Montpellier. L’Equipe, 1er septembre 2008