« J'ai une vision libertaire et émancipatrice de la vie. Je ne pourrais dire que je suis une personne contre le capital. Mes lectures (« Dieu et l'Etat » de Bakounine, « Le droit à la paresse » de Lafargue) sont une bonne échappatoire par rapport à l'escrime. En faisant de la compétition, je vis quelque chose de paradoxal par rapport à mes idées politiques. Mais comme dans mon sport je m'éclate à fond, j'ai décidé d'aller voir jusqu'où je pouvais aller. »
Nicolas Lopez, escrimeur. L'équipe, 13 août 2008
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